... parce qu'elle est partout.
La fin de l'année s'étire inexorablement, dans une certaine confusion.
J'ai le cœur lourd de Japon, de mots et d'images, de projets qui calent et d'autres qui émergent, encore fragiles et incertains comme une jeune pousse.
Et le quotidien, matériel, concret, me rattache au sol, fermement.
La tête trop pleine. Envahie. J'ai envie de calme, d'arbre et d'eau. Le remède magique pour évacuer, vider.
Laisser couler.
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Il s'affichera un peu plus tard, après sa validation.
Marianne