Ces choses qu'on oublie jamais.
Qui flottent à la surface,
Trop lourdes pour émerger
Trop lourdes pour émerger
Trop légères pour couler.
Elle tanguent dans la douce amertume du vent.
Parfois, elles tourbillonnent, aspirent l'attention.
Parfois, elle surnagent, menacent de sombrer,
immobiles,
avant d'apparaitre de nouveau.
avant d'apparaitre de nouveau.
Personne ne gagne.
Ni l’inertie, ni le courant.
Elles restent là, immergées,
Ni en mouvement ni stagnantes.
Ni en mouvement ni stagnantes.
Avec nous.
Pour l'éternité de nos vies éphémères.
... vies éphémères et des choses qui flottent ...
RépondreSupprimerLa saison du vert tendre est arrivée,
l’espoir reverdit à nouveau!
Je te souhaite un joli printemps dans ton étang ✿