Des gens sous la pierre,
Des gens dans la terre
Des piles d'ossement
Et de vies finies.
Des empreintes, des traces
Des paroles lasses,
L'usure des souvenirs
Qui se perdent aussi
Le passage du temps
Le rire du vent
Les absences de nos mères
Les dissolutions de nos pères
La disparation des générations
Les arbres qui s'assèchent
Au soleil revêche
Des gens sous la pierre,
La paix sur la terre
Le chant des enfants
Infinis de vie.
Des empreintes, des traces
L'amour qui se passe
Des mémoires tenaces
Qui se perdent aussi
L'une s’appelait Pauline, elle a choisit de partir, à 30 ans. L'autre s’appelait Marguerite, elle était ma mémé. Elle avait dépassée un siecle d'existence. Elle s'est accrochée. Puis le fil à lâché.
J'aime à croire que leur âme flottent dans les mers et les forêts, j'aime à croire que leur énergie nous accompagne encore un peu, nous les vivants.
J'aime à croire que leur âme flottent dans les mers et les forêts, j'aime à croire que leur énergie nous accompagne encore un peu, nous les vivants.
PASSAGE
RépondreSupprimerToi l'enfant
es le prolongement
de vies finies
Pas tout à fait
répond l'enfant -
Je suis la Vie
et après moi,
un autre poursuivra!
J'aime croire qu'ils sont là tout prêts et qu'ils veillent, j'aime croire qu'ils sont là quand j'ai besoin de soutien, j'aime croire qu'ils sont mieux ailleurs...
RépondreSupprimerJ'aimerais savoir ce qu'il y a après...